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~ COLONIA DIGNIDAD ~ 


 

 

LA PEINE

L'engin nous déversa (nous? la pauvre était morte) dans un conduit qui s'ouvrait au pied d'un des murs. Je glissais, ma tête heurta quelque chose de dur, je perdis connaissance…
Il faisait sombre. La pièce semblait en contrebas. Une grande ouverture, barrée d'une grille et placée en hauteur diffusait un peu de lumière venant de… un couloir ? Une grande salle, carrelée de blanc avec du mobilier et des instruments de médecine, de chirurgie. Je m'écartai de la religieuse, rampait dans un coin où je restai prostrée. Je tremblais: j'avais froid, j'avais peur, j'avais mal partout. Mes mains et mes chevilles étaient déliées. Je palpais mon corps douloureux, en découvris les cicatrices innombrables. La pince! J'essayai de l'enlever…

Une brusque clarté m'aveugla soudain. J'entendis les bruits de la grille que l'on ouvrait, puis un bruit de moteur électrique…
Ils descendaient ! L'homme, vêtu d'une blouse blanche et deux gardes.
Je les regardai approcher, paralysée de frayeur.

Les deux gardes se saisirent de moi, m'immobilisant et je vis l'homme préparer une seringue.
- C'est un produit de ma composition. Il ôte toute volonté sans abrutir. Il ne supprime aucune sensation, ni le plaisir, ni la douleur. Mais il rend docile, annihile tout désir de rébellion, diminue un peu l'appréhension de soi. Je vais te piquer pour la première et la dernière fois. Une dose importante à effet rapide. Après tu prendras une pilule matins et soirs comme tous ceux qui travaillent ici.
Tu vas travailler pour nous aussi. Après avoir été punie. Ce soir et demain.
Il enfonça l'aiguille mais je le sentis à peine.
- Va ! Cela prend une demi-heure pour agir.


Je tombais à genou, m'échappai dans un coin.
Les gardes riaient en déshabillant la sœur. De temps en temps, ils se retournaient vers moi, m'adressaient la parole. Le "docteur" s'affairait, là-bas. Il avait allumé un réchaud à gaz. Je les regardais tous, bouger, s'activer. Et je sentais intensément l'injection faire son effet : une sorte de brouillard semblait distordre mes pensées, m'éloigner de tout ça.

Non ce n'était pas possible, cela ne pouvait exister. Je me levai, voulus me précipiter vers le monte-charge…
- Halten Sie ! Stop !
Je crus pleurer de désespoir… J'obéis. Je m'immobilisai sur place.

- Kommen Sie hier! Come here!
Et j'obéis encore. J'avançai vers eux. Je ne pouvais qu'obéir aux ordres.

- Tu vois comme c'est facile. Approche. Installe toi. Ecarte les cuisses.
Les griffes d'acier se refermèrent sur mes poignets et mes chevilles, le collier de métal se resserra.

Je ne pus qu'ouvrir la bouche, mordre la barre plastifiée. Je sursautais quand ils remontèrent l'arête triangulaire et hérissée de pointes, quand les pointes s'enfoncèrent dans ma fente, en écartant les lèvres.

- Ecoute bien ! Première imprégnation. Tu obéiras à tous mes ordres. En priorité. Ensuite viennent les gardes. Tu leurs obéiras également. C'est tout. Tu n'as pas à obéir aux travailleurs.
Deuxième imprégnation : tu ne dois pas quitter la Colonia. Tu es ici pour subir ta peine et tu la subiras ici. Tu as un corps de putain et tu vas travailler comme putain. Avec la même règle de priorité. Moi en premier. Les gardes ensuite. Tu iras régulièrement te vendre aux travailleurs, mais ils devront payer pour te baiser. As-tu compris ?
- Oui.
- Oui Monsieur !
- Oui Monsieur.
- Répète tout ce que j'ai dit.
Ce fut effroyable. Quelqu'un d'autre semblait parler à ma place :
- Je suis une putain. Je vous obéis d'abord. Puis j'obéis aux gardes. Si les travailleurs veulent me baiser, ils doivent payer.
- Tu es une bonne putain. Il est temps de t'immatriculer. Tout le monde saura que tu es une putain.

Immatriculer ? Je ne comprenais pas.

Chaleur sur mon épaule. Un chuintement, un grésillement comme lorsque l'on jette un morceau de viande dans le beurre chaud. L'odeur aussi de la viande grillée. Puis cela remonta comme au ralenti vers ma conscience. Et la douleur explosa, me jeta dans mes fers. Je me cognai les dents contre le mors plastifié. Les piques déchirèrent mon sexe et je criai ma souffrance, mon désespoir et mon impuissance.…

- C'est fait. Tu es la putain 3918. C'est ton immatriculation. Répète !
- Je suis la putain 3918 et c'est mon immatriculation.
- Mais nous ne sommes pas des monstres alors on va te donner un vrai nom… mmmm… tu t'appelleras "Trous". Avec un S. Qu'en pensez-vous vous autres ?
- Ya, oui c'est bien. Ca lui va bien. Trous à bites, ah ah ah !
- Adjugé. Répète putain !
- Je suis la putain 3918 et je m'appelle Trous, avec un S.
Je ne pouvais m'empêcher d'obéir, de lui obéir. C'était horrible et j'imaginais déjà ce qu'ils pouvaient me demander de faire…
- Conduisez là dans la cellule de Pédé. Elle lui expliquera tout. Et toi, Trous, tu obéis à Pédé. C'est une putain comme toi, mais plus expérimentée. Répète tout.
- Je suis une putain. Je suis la putain 3918. Je m'appelle Trous. Avec un S. Je vous obéis en premier, Monsieur. J'obéis ensuite aux gardes. Si les travailleurs veulent m'avoir, ils doivent payer. Je ne dois pas quitter la Colonia. J'obéis à Pédé qui est une putain comme moi.
- Allez file. Quand tu auras subi ta punition, je t'enverrai chercher et nous prendrons du bon temps ensemble.
Ils me détachèrent. "Suis moi Trous", je ne pus qu'obéir et suivre le garde. Difficilement. Le garde me prit à bras le corps et me traîna plus que je ne marchai. Ses mains ne se privèrent pas de "m'aider"aux bons endroits mais c'était une aide que je ne refusai pas.

Que je ne pouvais d'ailleurs pas refuser.


Pédé était un garçon. Enfin pas tout à fait. C'était une fille un peu masculine, avec un sexe d'homme.

Dans ce qui allait être pour quelques temps notre cellule commune, elle m'aida à me relever et me poussa gentiment mais fermement vers le coin qui servait de douche et de toilette. Pédé était très bavarde mais dans ce déluge de mots en partie espagnols, en partie américains, je retins qu'elle était ici presque volontairement, que le Docteur devait lui payer l'opération qu'elle désirait tant. Plus tard quand elle aurait bien travaillé comme putain. Elle m'apprit aussi que le Docteur n'aimait pas les femmes et que toutes façons, avec lui, seul "mon trou du cul" servirait, qu'il allait falloir l'assouplir, que...

- Tu dois te maquiller comme ça, à chaque fois que tu vas travailler.

J'avais l'air d'une putain effectivement. Outrageusement fardée y compris les mamelons, les lèvres de mon sexe et même mon anus.

Elle m'aida à coiffer la perruque blonde avec deux petites nattes ornées de rubans roses.

" C'est celle qu'il préfère ", m'expliqua-t-elle alors que j'enfilai les sandales roses aux talons immenses.

J'avais l'air d'une gamine perverse ainsi vêtue (dé-vêtue), les seins nus, les aréoles roses, un petit jupon de dentelle rose, les bas et ces chaussures sur lesquelles je vacillais.

- Prends une pillule. Ca va t'aider à tout supporter. Chut... Ils arrivent...

Ce fut rapide, brutal.

Les bracelets de cuir aux coudes tout d'abord, la chaîne qui les reliait et qui me sciait le dos si je ne me cambrais pas assez. Le collier et la laisse puis les chevillières. Le garde termina par une sorte de bâillon écarteur qui forçait ma bouche en la maintenant grande ouverte.

- Schnell ! Avance, Trous.

J'obéis. Difficilement. La honte, la peur me tenaillaient.

J'imaginais ce que les hommes verraient quand je serais mise à leur disposition.

J'étais penchée sur ce chariot, ceinturée par la taille, le derrière bien haut, bien en vue.

Je trottinais derrière le garde, en partie par moi-même, en partie tractée par la laisse qu'il tenait à la main.

Les toilettes étaient très propres mais sentaient... les toilettes.

C'était là que j'allais faire la "pute". Je répétais ce que le garde me disait de répéter :

-je suis une pute, ma bouche et mon cul sont gratuits. Mon con se paye un jeton. C'est écrit sur l'ardoise accrochée à mon clitoris

La pince qui le mordit me fit crier. La pince à laquelle était suspendue l'ardoise

- Ils vont dépenser leur salaire cette nuit. Tu vois, pour sortir le gode, il faut mettre un jeton dedans. Comme pour les caddies de supermarchés. Ils vont faire la queue ! Ah ah ah ...

Il enfonça l'objet dans mon trou, en retira le jeton. Je gémis quand je sentis les crampons s'ouvrir, me dilater.

Je placais mes chevilles sur les supports, ouvrant mes cuisses, exposant aux clients ce qu'ils étaient venus acheter.

Cela dura presque toute la nuit, le couvre-feu habituel ayant été levé exceptionnellement. Les hommes succédaient aux hommes. Le plus souvent, je prenais deux clients à la fois, l'un dans ma bouche béante, l'autre dans le cul ou le con. J'étais complètement dilatée et ils rentraient en moi comme dans une porte cochère. Je dégoulinais de partout bien qu'un garde me nettoya régulièrement avec un vaporisateur désinfectant et une serviette humide.


Au matin, ils me détachèrent et m'entrainèrent au sous-sol.

Sous les toilettes.

Je marchais en titubant, les cuisses écartées, le con béant, en feu. Je n'arrivai pas à refermer ma bouche, qui restait grande ouverte, les machoires encore tétanisées par le bâillon écarteur.

Sous les toilettes.

- Après la pute de nuit, le service de jour !

Je ne comprenais pas. Le garde m'expliqua :

- Tu vois cette vanne ? Elle détourne l'évacuation des pissotières vers cette niche.

.

Toi la pute, tu vas être dans la niche. Branchée aux pissotières.

J'avais compris. Avant même qu'il n'ait tout expliqué et tout détaillé avec un luxe sadique de précisions.

J'allais servir de sac à pisse après avoir servi de sac à foutre.

J'ouvris pourtant docilement la bouche pour qu'ils enfilent dedans le gode ouvert relié à un tuyau souple, j'inclinais non moins docilement la tête pour recevoir le carcan de métal autour de mon cou, tandis qu'ils me montraient comment ils allaient me boucher : une pince pour fermer ma moule gluante et un plug gonflable pour mon cul... Ooooh ce plug !

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Ils m'installèrent sur le chariot et vissèrent les carcans. Mes articulations protestèrent, je gémis, je crus qu'ils allaient me casser en deux tellement j'étais pliée, tordue en arrière.

Mais ce n'était rien, car lorsqu'ils me bouchèrent, que je sentis l'acier mordre les lèvres de ma chatte, lorsque je sentis le plug gonfler, me remplir le cul, me dilater l'intestin, je me débattis, je criai, je hurlai dans le bâillon.

En vain.

Un coup de pied et le chariot s'enfonça dans la niche. Ils raccordèrent le tuyau , tournèrent la vanne et fermèrent la trappe.

J'étais enchaînée, presque disloquée, bouchée, bâillonnée, seule dans le noir.

.................

Des pas au-dessus de moi !

Des qui s'arrêtaient ! Des pieds bottés, mais aussi des pieds nus.

Je les imaginais là-haut, je les imaginai qui me regardaient à travers le sol..

Un silence...

Puis des bruits de gouttes, des bruits de liquide coulant dans une canalisation.

Et l'urine arriva, coula. J'essayai de pas avaler. Mais c'était impossible : mes joues se gonflèrent, il fallait que je respire.

Je manquai m'étouffer, j'avalai le liquide immonde, âcre.

Puis ils tirèrent la chasse ...

Je me débattis comme une forcenée, j'essayai de repousser le gode, je hoquetai, je râlai.

Mais j'avalai.

J'avalais...    
  J'avalais...  
    J'avalais...

Je ne sais combien de temps je suis restée à avaler ainsi l'urine et l'eau des toilettes.

Car lorsqu'ils me sortirent de là, je m'étais évanouie de douleur, le ventre distendu.

Je me réveillais accrochée par le cou au gibet.

- Hé Trous ! Attends que nous soyons rentrés pour te vider. Tu as compris ?

Je grognai un "Oui" muet, sans ouvrir la bouche : j'étais prête à vomir.

Je vacillai sur mes jambes quelques instants, la tête me tournait.

Des mouches bourdonnaient autour de mes trous. Je suintais de partout.

J'attendais qu'il s'éloigne.

"Je vous en prie, dépêchez vous !" les suppliai-je en silence.

Puis tous mes trous s'ouvrirent ensemble et je me vidai là, rendant les litres et les litres que j'avais du ingurgiter.

Ce fut la dernière fois où je fus torturée pendant cette quinzaine que je passai à Colonia.

Je fus ramenée dans ma cellule.

Pédé m'aida à me nettoyer de toute cette fange et je pus dormir. Enfin.

Ils me laissèrent tranquille pendant deux jours.

Ensuite...

C'était une sorte de routine.

Le matin, Pédé et moi devions faire le ménage dans la maison du docteur.

Nous nous partagions le travail. Elle s'occupait du premier étage, je m'occupais du bas.

Nous portions l'uniforme bien sur. Une tenue de soubrette, très courte, dont la robe était fendue devant et derrière. Un petit tablier de dentelle, une coiffe, des bas fins et de hautes sandales à talons aiguille. Sans oublier la perruque blonde. Nous nous entravions nous même dans la cellule avant que l'on viennent nous ouvrir la grille et nous emmener à la résidence :

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chevillières de cuir, harnais de tête avec une bite de caoutchouc dans la bouche et dans le cul, un collier de chienne avec sa laisse, des bracelets au-dessus des coudes qui étaient ainsi enchaînés dans le dos. Les avant-bras, les mains étaient libres.

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Les premières fois je peinais avec mes coudes ainsi attachés. Passer l'aspirateur allait encore.

Mais épousseter tous les bibelots était beaucoup plus dur. Surtout la collection de porcelaine du docteur.

Il me fallait prendre un petit escabeau, le porter jusqu'au vaisselier, grimper sur l'escabeau avec mes talons vertigineux

Et là, perchée sur ce petit escabeau, en équilibre sur une jambe, je me penchai pour passer le plumeau.


Evidemment, il y avait toujours un garde qui passait par là.

Il restait un moment derrière moi...

Je sentais ses yeux me toucher, mes cuisses, ma moule, mon cul pluggé (je parlais maintenant comme ils me disaient de parler: avec un langage putassier)

Puis :

- descend Trous. Et penche toi.

Il ôtait alors les plugs, qu'il me confiait et il m'enculait là, sur place.

Puis me tenant par la laisse, il me faisait empaler sur sa matraque, me présentait sa bite:

- Allez Trous, suce. Et branle toi.

J'obéissais bien sur. Et je le suçais et je me branlais. Et je le suçais et je me branlais.

- Oui la pute, c'est bien, continue .

L'horreur était que la putain que j'étais devenue, mouillait, mouillait

Quand enfin, il tirait un cou sec sur la laisse, sa main appuyant durement sur ma tête, j'engloutissais alors sa bite qui manquait m'étouffer, j'avalai son foutre et je jouissais, je jouissais comme une damnée sur cette matraque qui me défonçait.

Je me souviens encore maintenant le bruit dégoutant que faisait mon vagin palpitant alors qu'il en extrayait la matraque.

- Hé la pute, n'oublie pas le ménage !


A midi, nous pouvions déjeuner seules. Dans notre cellule.

Et nous reposer de la nuit précédente et de la matinée.

Mais dès quatre heures de l'après-midi, il nous fallait reprendre le service.

Cela se passait généralement au jardin, où le docteur recevait ses invités.

Il y avait une sorte de "bier garten" où ils passaient l'après-midi à boire bière sur bière, à consommer saucisse sur saucisse et à fumer d'énormes cigares puants.

Il fallait donc les abreuver et les nourrir.

Nous nous habillions d'un petit uniforme de serveuse, librement adapté du costume traditionnel bavarois.

Très court bien évidemment, en vichy rose, avec un chemisier transparent, un petit tablier brodé, des bas fins et de hautes sandales à bride. Sans oublier la jarretière pour le côté sexy de la chose et le corset serré qui faisait pigeonner mes seins.

Le maquillage était très appuyé, le maquillage de travail, un maquillage de putain.

Et toujours les mêmes entraves aux coudes.

Devant ses invités, le docteur expliquait son traîtement, en vantait les résultats :

- Ya, ya. Elles s'habillent toutes seules. Même le plug. Voyez !

- De vraies putains !

- Et elles aiment ça. Va te branler, Trous.

- Trous ?

- C'est son nom. Tous ses trous sont disponibles.

- Charmant !

J'avais le feu aux joues. Pour eux, je n'étais qu'un objet sexuel, un ensemble de trous juste bons à remplir. Pire qu'une putain.

Mais je ne pouvais qu'obéir.

Alors j'obéissais.

J'enfourchais le gode vibrant, je me l'enfonçais bien profond et j'ondulais du bassin.

Jusqu'à ce que je me mette à trembler, à gémir, jusqu'à ce que je jouisse comme la putain que j'étais.

- Voulez vous l'essayer ?

- Volontier. La salope est toute trempée ! Elle a vraiment pris son pied.

- Bien sur. Le traîtement est parfaitement au point.

- Garde ça Trous, pendant que notre ami l'officier t'encule.

Mais tout ceci n'était rien par rapport au service du soir.

Et surtout comme un de ces derniers soirs que je passai à Colonia.

Comme tous les soirs, je m'étais corsetée et entravée. J'avais attachée la muselière et j'avais enfoncé le gode double dans l'anneau du bâillon. Mes machoires étaient distendues par une extrémité du gode, l'autre extrémité ressortant obscènement de ma bouche. Je portais un string de cuir qui maintenait en place le plug qui me dilatait le cul, mais sur lequel était fixé un énorme phallus de caoutchouc.

Bas résille, jarretière, coiffe de dentelle complétaient mon attirail de putain.

Le docteur était là avec un des gardes, son préféré.

Une jeune fille était là aussi : ligotée, cagoulée et bâillonnée.

Ils avaient dû l'enlevée dans son lit car elle était encore en pyjama.

 

 

 

Ils commandèrent des boissons, pour eux, et entreprirent de déshabiller la fille. Elle criait dans son bâillon, se débattait alors que leurs mains palpaient son jeune corps sans défense.

 

 

Egoïstement je pensais que ce soir, je serais peut-être plus tranquille, qu'ils ne s'assoiraient pas sur mon ventre et mon visage, s'enculant sur les bites de caoutchouc que j'arborais.

 

Quand ils l'eurent dénudée, ils l'allongèrent sur la table basse et enlevèrent la cagoule de la jeune fille.

C'était une étudiante dont le fiancé avait été arrêté pour activités terroriste et donc, dans leur logique, elle était aussi coupable.

Obéissant aux ordres, je m'agenouillai et présentai ma bite à la fille.

Quelques coups de cravache sur ses seins menus la convainquirent rapidement de sucer le membre de caoutchouc.

 

De même, elle accepta de lécher le gode qui sortait de ma bouche muselée.

- Suce bien le bout, chienne. Ca rentrera mieux !

- Allez Trous, mets lui bien à fond. Ouvre la !

L'étudiante pleurait, geignait alors que je la branlais, que je respirais l'odeur de sa chatte.

Elle hoqueta quand je m'enfonçais dans sa gorge en même temps que je la pénétrai.

Elle manqua s'étouffer quand ils enroulèrent ma laisse autour de son cou pour nous attacher l'une à l'autre.

Et elle râla quand le garde m'encula sauvagement et que accompagnant les coups de rein je défonçais le con de la fille qui se tortillait sous moi..

Mais pour elle le pire était à venir.

Je m'assis sur la table basse, elle sur ma bite, ses chevilles ligotées dans mon dos.

Je la regardais dans les yeux, je lui caressais la taille pour la calmer car j'avais vu le fer rouge.

Elle hurla, sauta en l'air, manquant nous faire tomber de la table quand le fer incandescent s'enfonça dans la chair de son épaule.

L'odeur épouvantable de chair brûlée emplit mes narines, la pièce.

Les yeux de la fille se révulsèrent et elle s'évanouit.

Ils la détachèrent de moi. Je me redressai et me tins debout, prête à servir tandis qu'ils la soulevaient, la posaient sans ménagement sur la table basse.

- Regagne ta cellule Trous. Je n'ai plus besoin de toi.

Je m'éloignai lentement, les laissant jouer avec l'étudiante.Cela allait être horrible pour elle.

Elle n'avait même pas été marquée comme putain: gravée par le feu dans sa chair, elle portait la marque "Fleisch", viande.

Et je savais que les "viandes" étaient utilisées comme cobayes pour les expériences criminelles du Docteur.

 

LA PEINE