banniere Agnes Art
 

~ COLONIA DIGNIDAD ~ 


 

 

L'ENQUETE DU PRINCE (2)

Le Prince était inquiet.
La machine temporelle fonctionnait correctement mais Agnès n'était plus si jeune. Lui non plus d'ailleurs.

Mais il était Prince d'Europe et cela suffisait à lui donner la résistance nécessaire.
Mais Agnès ! Une esclave. Une femme.
Il tenait à elle. La meilleure gouvernante d'esclave qu'il n'avait jamais eu. Un caractère épouvantable, une malice calculatrice. Mais elle était efficace dans la charge pour laquelle elle s'était asservie.
Le Prince la connaissait sous tous ses ressorts.
La fonction qu'elle occupait lui donnait beaucoup de pouvoirs, y compris celui de lire ses courriers personnels. Le Prince savait donc que Agnès savait tout d'Helen. Et de sa mission au Chili en cette année 1984.
Il imaginait déjà le jeu qu'Agnès jouerait.
Elle débarquerait de la machine apprêté comme une esclave de plaisir. Elle minauderait, elle jouerait la sotte. Elle aurait encore transporté d'énormes bagages, avec évidemment des raisons imparables. Et lui, la laisserait jouer ce jeu. Mais ce soir il la punirait et la violerait. Il savait qu'elle ferait tout pour se faire prendre de force. Qu'elle ferait tout pour obtenir le fouet. Le fouet qui serait dans son énorme bagage.
La grotte s'emplit soudain de lumière. Une lumière insoutenable.
Il ferma les yeux.
Lorsqu'il les ouvrit de nouveau, la bulle de transport était là.


Le Prince se retint de rire.
Agnès avait tout fait pour provoquer son courroux.
Une malle cabine ! Enorme.
Ses hommes étaient tassées près de la malle, Agnès les cuisses croisées haut occupant la moitié de la banquette.


Ses hommes dont le regard plongeait sur les cuisses de sa gouvernante.
Le Prince se demandait depuis quelques temps déjà comment Agnès, une esclave, même esclave gouvernante, pouvait avoir une telle autorité sur sa garde personnelle. Il avait observé que ses hommes s'adressait à elle comme à une citoyenne. Il savait les fleurs qu'elle recevait, les attentions que les membres de sa garde lui prodiguaient. Ce n'était pas une histoire de sexe. Agnès était immatriculée "I", esclave de travail intellectuelle. On n'avait pas le droit de l'utiliser comme on pouvait utiliser une esclave de plaisir. De plus le Prince connaissait les penchants saphiques de sa gouvernante et il savait que le seul homme qu'elle acceptait était lui-même.
Un mystère. Qu'il lui faudrait résoudre un jour.
Agnès, transparente comme une vierge et plus rouée que la plus rouée des catins…
Cette malle ! Qu'avait elle pu mettre dedans ?
Le ministre du budget allait faire des bonds
Et elle portait un collant !
Non…
Oui. Un collant fendu.


Le Prince se demanda si elle savait ce qu'il voyait alors qu'elle descendait l'échelle.
"Agnès, tu es une saloperie. Tu sais que je n'ai rien eu depuis 10 jours et tu arrives ainsi." pensa-t-il, une douleur exquise gonflant déjà son pantalon de cuir.
- Votre esclave se présente à vous, Maître.. Et vous souhaite une bonne journée.
- mmmm c'est quoi ça ?
- Mon Maître, vous allez sauver toutes ces pucelles. Il faudra les vêtir dignement.
- Sais-tu ce que me coûte un voyage temporelle ? Et l'énergie qu'il faut pour transporter tes cantines ?
- Oh Maître ! Ce ne sont que dentelles et soie. Des petits vêtements que vous aimez voir porter par vos esclaves. C'est tout léger et…
- Mais c'est mon bagage personnel !
- Oui mon Maître. Je ne suis que votre esclave et n'ai pas de biens propres.
- Et c'est pour cela que tu as rayé mon nom sur les étiquettes ?
- …
- Réponds esclave !
- Je…
- Et tu es là, devant moi, portant des collants ! Te souviens-tu qu'une esclave doit être ouverte en permanence ?
- Maître, avec cette petite jupe que j'ai mise pour vous plaire, si je porte des bas, j'ai l'ai l'air d'une fille de rien. Je me dois de paraître digne auprès de vous ou de vos esclaves…
- Tu es une catin, Agnès. Et vous! Vous ne pouviez pas l'en empêcher ?
- Seigneur, elle ne reçoit d'ordre que de vous. Ou de votre épouse.
- Et puis, Seigneur… c'est…Elle est la seule à accorder les bons d'utilisation. Si nous voulons viol… utiliser une esclave, nous devons avoir sa permission.
Le Prince réalisa soudain. Agnès, seule, en tant que gouvernante des esclaves, avait le pouvoir de d'autoriser l'utilisation d'une esclave de plaisir. Elle était responsable de la santé de tous les esclaves et donc délivrait ces bons qui permettaient à un homme de sa garde d'utiliser l'esclave qu'il avait choisie. Elle pouvait, à volonté, déclarer une esclave hors d'usage. Elle les tenait.
Il éclata de rire.
- Allons vous autres. Déchargez le bagage de Mâdaaame et portez le à la voiture.
Tous s'esclaffèrent et cela diminua les tensions accumulées par le danger. Les hommes grimpèrent à l'arrière du plateau, Agnès s'assit à l'avant, près de son Maître qui prit le volant.


- Oooooh Maître. Non ! Pas sur la route.
La main du Prince avait rapidement ouvert ses cuisses et trouvé son bouton de rose.
Cela faisait si longtemps qu'il ne l'avait pas touchée.
"Il… il savait pour le collant ouvert. Animal ! Oh Maître ! Vous saviez !"
Agnès ne voyait plus rien, ne pensait plus à rien. Son Maître la prenait. Juste avec sa main droite.


"Je suis la chienne de mon Maître" songea-t-elle alors que les prémices de l'orgasme la faisait trembler comme une branche de saule par grand vent.


- Vous logez vraiment ici ? Dans ce taudis ! Vous mon Maître ? Vous un Prince ?
- Je me cache Agnès. Je ne suis pas dans mes terres. Et le Prince de ce pays a des manières barbares. Plus que tu ne peux imaginer.
- Je vous crois, Maître. Puisque cela vous oblige à vivre là-dedans.
Ils s'étaient arrêtés devant ce vieil hôtel perdu et désaffecté. Joaquim, le serveur de l'hôtel de Valparaiso avait tenu parole. Il avait trouvé une voiture et ce refuge près de Colonia Dignidad.
Le Prince avait repéré les alentours, cherché les failles dans le système de sécurité de la Colonia.
Il savait ce qu'il fallait faire. Mais cela nécessitait le concours d'une femme.

Et seule Agnès lui semblait à même de mener à bien son plan.
Qu'il lui expliqua.
- Maître ! Si je puis me permettre, l'age ne vous assagit pas. Une mignonne qui passe et vous ne songez qu'à la culbuter. Que la petite idiote se mette en danger et vous voilà prêt à galoper à sa rescousse.
- Agnès tu dépasses les bornes !
- Je sais mon Maître. Mais je sais aussi que vous me demandez quelque chose qui n'est dans le contrat de servitude. Je me trompe.
- Non Agnès. J'ai besoin de toi. Et cela va être dangereux.
- Je l'ai compris, Maître. Vous savez que je vous appartiens totalement. Vous savez que je donnerai ma vie pour vous. Mais je vais demander un prix pour ce service.
- Tu comptes sans cesse Agnès. Je…
- C'est une des raisons pour lesquelles vous m'appréciez, Maître.
- J'accepte d'en payer le prix Agnès. Je t'écoute.
- Cette esclave ose implorer son Maître qu'il la viole. Cette esclave espère que le souvenir de ce viol l'aidera dans les dangers qui la menace.
- C'est là le prix à payer ?
- Oui Maître.
- Puisque l'on parle de prix, il y a quelques manquements dont je voudrais discuter avec une certaine esclave effrontée.
- Oh Maître ! Vous aussi vous comptez ! Vous…
- Présente toi esclave !
Agnès se fit soumise. La voix du Maître avait parlé. Mais elle avait gagné. Le Maître allait la violer. Et de la plus agréable façon. Avec colère, un peu. Avec plaisir, beaucoup.


Elle se défit de ses vêtements devant lui. Doucement. Sa veste d'abord.

Sa jupe ensuite.
- Je saurais me souvenir du corset, Agnès. C'est bien.
- Oui, Maître. Merci Maître. Les chirurgiens ont fait ce que vous avez ordonné. Ils ont bien implanté le radio-traceur et la capsule de gaz neuro-paralyseur...

- C'est pour te localiser facilement et pour t'aider, si tu avais un grave problème.

- Et puis ils ont fait ça aussi Maître. Tous ces ... poils. J'ai honte, Maître de me présenter toute velue devant vous.
- C'est pour cacher ton tatouage de servitude.
- Je sais Maître, mais j'ai honte de ne pas être totalement nue devant vous.

Le Prince s'approcha d'Agnès comme elle s'y attendait.
Mais ensuite, rien ne se déroula comme elle l'avait prévu.
L e Prince attacha ses poignets à son corset tout d'abord ce qui la laissa dépourvu de toute initiatives manuelles.

Puis il glissa sa canne entre ses cuisses, la caressant doucement. Le prince regardait Agnès, ses yeux, sa peau, son visage.

Lorsqu'il la vit au bord du plaisir, il cessa soudain.

Agnès ne comprenait pas. Elle aurait voulu qu'il lui accorde la jouissance mais il l'avait laissée là sur le bord de la route.

Et maintenant il vérifiait sa toison. Cette toison qu'il avait ordonnée et qui lui faisait honte.
- C'est bien. Le marquage est presque invisible. Les greffons semblent avoir pris.


Ses mains, oh Ses mains sur son ventre. Agnès vibrait d'attente. Elle attendait la délivrance, l'autorisation de jouir.

Mais le Prince en avait décidé autrement.
Elle se retrouva à genou, la canne dans la bouche, devant la malle cabine et l'étiquette qu'elle avait effacée.


- Je vais aller manger. A mon retour, je songerai peut-être à achever ce que j'ai commencé.

Toi l'esclave insolente tu restes là, à genoux, devant ta faute. Et ne perds pas ma canne !


Lorsque le Prince revint, Agnès n'avait pas bougé. Elle avait mal aux genoux mais elle était trop fière pour l'avouer.

De toutes façons, elle n'eut guère eu le temps de prononcer une parole.

Ausssitôt, le Prince força un plug dans sa bouche, la réduisant au silence.

- Penche-toi, esclave, le front sur le sol, ordonna-t-il, avant d'enfoncer un plug dans son derrière et un autre dans son sexe.

Agnès fut corrigée comme elle l'avait rarement été. Malgré le plug dans sa bouche, elle comptait en gémissant les coups de cravache qui s'abattaient sur ses fesses, ou sur les plugs.

Quand Agnès eut compté 50, en sanglotant, le Prince la jeta pratiquement sur le lit, lui coinça la tête entre les barreaux, lui tordit un bras dans le dos et entreprit de la prendre.

Ce fut un viol sauvage. Le Prince se comporta comme un tigre en rut, n'accordant à Agnès aucun répit. Agnès fut prise comme une esclave non-volontaire que l'on viole pour le dressage.

Quand le Prince eut longuement utilisé le con et le cul d'Agnès, lorsqu'il fut presque assouvi, il l'agenouilla ("au moins il a mis un coussin, espèce de..." songea-t-elle ) et força sa bouche jusqu'à ce qu'enfin il retrouve sa virilité.

Plus tard alors qu'Agnès s'était isolée dans les toilettes, le Prince vint lui expliquer ce qu'il attendait d'elle.

- Oh Maître ! Une pauvre esclave violée bestialement ne peut-elle avoir un instant d'intimité? Pour réparer les dommages subis ?

- Tais toi un peu esclave ! Et écoutes moi bien.

Agnès devait se rendre à la Colonia Dignidad en se faisant passer pour une femme battue par son mari. Elle devait demander à travailler. Et essayer d'obtenir des informations sur Helen, le traceur qu'on lui avait implanté relayant les renseignements obtenus.

Agnès était prête à beaucoup pour son Maître et elle accepta.

Mais elle hurla quand elle vit les vêtements que lui avait choisis le Prince.

- Mais j'ai l'air d'une citoyenne de basse caste ! Cette robe est mal coupée... et puis ce soutien-gorge !

Et ces... choses, ces baskets !!!!

- Oh Agnès ! Il faut que tu passes pour une fille du pays !

- Et les filles du pays s'habillent comme des chiffonières ?

Agnès argumenta, le Prince également.

Comment le Prince s'y prit-il pour convaincre finalement sa gouvernante, l'histoire ne le dira pas.

Toujours est-il que Agnès accepta de s'habiller de cette manière, qu'elle jugeait dégradante.

Et que le Prince la conduisit non loin des portes de Colonia Dignidad.


Agnès expliqua son cas aux gardes de Colonia: que son mari la battait; qu'elle avait peur de lui; qu'elle s'était enfuie de chez elle; qu'elle demandait asile et travail à Colonia Dignidad.

On la conduisit dans ce qui ressemblait à une salle d'interrogatoire.

Agnès attendit longtemps dans cette salle sordide. Elle savait qu'on l'observait par le miroir sans tain aussi prit elle son mal en patience, assise sagement sur le petit tabouret.

Le bruit de la porte que l'on ouvrait la fit sursauter.

Deux hommes entrèrent, un garde en uniforme noir et un homme en costume de ville.

- quel est ton nom ? demanda l'homme.

Instinctivement Agnès se présenta comme se présente une esclave, cuisses écartées, mains croisées dans le dos et tête baissée.

- Je m'appelle Agnès Garcia, Monsieur.

- Ah ah, c'est une putain, Monsieur. Regardez comme elle écarte les jambes.

- Je ne suis pas une putain, Monsieur. Je me suis enfuie de chez mon mari qui me battait. On m'a dit que je pouvais trouver du travail ici.

L'homme la regarda attentivement...

- Nous examinerons ton cas ce soir. En place publique. Les travailleurs de Colonia déciderons s'ils acceptent ta demande ou non.

Agnès sentit que ses bras étaient tirés en arrière, qu'on lui liait les poignets.

- Tu as probablement été une putain. Mais tu es trop vieille pour ça maintenant.

Agnès, vexée, allait protesté mais une gifle la fit taire.

L'homme arracha le devant de sa robe...

- Les condamnés se présentent nus devant leurs juges ! Lieutenant, vous la préparez et vous l'exposez sur la Place des Châtiments.

- Vous n'avez pas le droit, je suis...

Le garde aboya "Tais-toi, putain" en même temps qu'il frappait Agnès au ventre durement.

Elle s'écroula au sol, le souffle coupé, un cou sur la tête lui fit perdre connaissance.

Lorsqu'elle reprit ses sens, le garde était sur elle.

Il la violait.

Ce n'était pas la première fois qu'Agnès était violée. Mais c'était, à chaque fois par quelqu'un qui avait des droits sur elle.

Là, un inconnu auquel elle n'appartenait pas, se servait d'elle.

Elle en fut profondément choquée mais elle pensa à sa mission, elle pensa au Prince.

Alors elle ferma les yeux et laissa le garde terminer sa petite affaire.


Agnès avait peur, très peur.

Après l'avoir violée, le garde lui avait ordonné de se relever et à coups de pieds, de cravache, il l'avait poussé hors de la salle d'interrogatoire. Maintenant elle était à genou sur la Place des Châtiments, la corde au cou, les poignets ligotées.

Le garde était là, devant elle. Il donna un ordre:

- Soulève cette salope.

Agnès sentit la corde se tendre, se resserrer autour de son cou...

- Oh mon Maître, ils vont me pendre !

Elle réussit à se mettre debout, soulageant la douleur. Elle respira un grand coup.

Mais bientôt ses pieds ne touchèrent plus le sol.

Agnès râlait, cherchant désespérement à respirer.

Puis ses pieds touchèrent quelque chose, elle put reprendre appui.

Sur la pointe des pieds.

- A ce soir, putain. Pour ton jugement.

Agnès passa la journée ainsi, en équilibre sur la pointe des pieds, peinant à respirer. Le soleil était fort et brûlait sa peau mais elle tremblait de froid néanmoins. De froid ? Ou de peur ?

Par moment une crampe poignardait une cuisse, un mollet, les orteils.Elle essayait de soulager le membre engourdi en se tenant sur l'autre pied... Difficile opération.

Un de ces hommes en salopette, pieds nus, portant un collier et avec un regard vide venait pour l'arroser de temps à autre.

Agnès essayait alors de grapiller quelques gouttes pour étancher sa soif.


Et le soir était arrivé. Agnès apercevait des gens qui se rassemblait devant le gibet, qui se mettait en rangs, en silence. Soudain la lumière dure des projecteur la cloua sur les hauts murs barbelés. L'homme en costume, le directeur de Colonia, approcha suivi d'un garde. Une femme vêtue d'une caricature d'uniforme de serveuse bavaroise et outrageusement maquillée, les suivait, portant deux chopes de bière.

Malgré le maquillage, malgré les cheveux blonds, Agnès la reconnut: C'était Helen.

Avec ce même regard vide que les autres travailleurs.

Le directeur se mit à parler à voix haute:

- Mes amis ! Je sais que vous êtes épuisés mais heureux d'avoir ardemment œuvré pour le bien de notre communauté.

Pourtant ce soir, il nous faut rendre un jugement équitable.

Il nous faut décider si nous accueillons parmi nous cette femme égarée sur la voie du péché.
Le verdict de chacun sera le nôtre.
Celle-ci est venue ici pour soi-disant demander notre protection. Mais sa bouche est grouillante de viles mensonges.

Ses intentions sont sournoises et il ne fait aucun doute qu'elle veuille apporter le malheur sur notre communauté.
Qu'en pensez-vous mes amis ? Cette créature peut-elle racheter par le labeur, le crime impardonnable qu'elle préméditait?
Je ne le pense pas mes amis ! Et vous ?
Les gens rugirent soudain et cela fit trembler le gibet:
- Non !
Soit. Elle paiera donc. Votre jugement est le nôtre et c'est un bon jugement.
Mes amis, il est temps maintenant d'appliquer les sentences. Que la criminelle odieuse paie immédiatement.

Agnès comprit alors que ces fous allaient la pendre. Elle devait utiliser la capsule de gaz bien qu'elle fut dans une position périlleuse. La corde qui allait la pendre n'était plus attachée là-haut et un homme la tenait. Il la lâcherait quand il s'évanouirait.

Agnès mordit la capsule insérrée dans une de ses molaires.

"Mon Maître, je vous en supplie, dépêchez-vous..."

Il y eut une odeur amère, un parfum de jasmin. Le docteur, les gens, toussèrent, vacillèrent et s'écroulèrent sur le sol. Agnès sentit la corde se tendre, puis se relâcher.

Agnès perdit le fragile équilibre qui la maintenait sur le tréteau et tomba.

Elle vit le projecteur se rapprocher à toute allure, réussit à l'éviter.

Sa tête porta sur le sol dur, elle s'évanouit.

L'ENQUETE DU PRINCE (2)