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 animal
J'ai essayé dans cette histoire, d'introduire un peu d'interactivité.
Certaines images sont réactives, le passage de la souris, un clic sur une partie de l'image.
Je vous laisse la surprise de les découvrir.


 



JANVIER...
Un vent glacial, humide, qui transit les corps, balaye les rues de la ville.
La morgue, l'ancienne morgue, abandonnée pour des locaux clinquants d'acier et de verre.
Une ombre s'arrête un instant devant la vieille porte de chêne moisi.
Fermée. Accès interdit. L'Institut est transférée au 26 boulevard.....

( cliquez sur le journal )

Costume sombre, de bon faiseur, pardessus de riche astrakan, lourde valisette de cuir à  la main, la silhouette contemple un instant l'ancienne entrée de l'Institut de médecine légale. De la pointe de son parapluie, l'homme repousse un journal entraîné par une brusque rafale.
Puis il rajuste son feutre que le vent malmène et disparaît dans l'ombre vers une petite porte oubliée... 


.............................................
Quelque part. Et quelques mois plus tard.
 

Maître...
 Je l'aime.
         J'aime Son odeur, Son goût.
         Maître remplit ma bouche de Sa semence.
         J'avale ce que je peux avaler.
         Avec mes lèvres j'essaye de sucer ce qui coule sur mon menton.
         Maître.
         Il vient ce soir.
         Il ouvre la porte de l'étable, détache la laisse qui est accrochée à un anneau du mur. Il m'oblige à me dresser sur les genoux et me guide vers sa braguette ouverte. 
La laisse tire sur l'anneau qui perce mon nez, des larmes inondent mes yeux, j'ai mal, mais j'engloutis Sa bite.
         Mmmmm c'est bon. Merci Maître.
         Je Lui appartiens. La femelle 117. Que Maître appelle parfois Julie.
         Quand je suis sage et obéissante...
J'aime quand Il dit ce nom... Moi je n'y arrive pas. Les autres animaux non plus. Ils prononcent "uhi".
Mais ce ne sont que des animaux après tout.
Maître dit "Julie". Dans ma tête je peux le dire. Pas ma bouche. Ma bouche dit "uhi"
Maîtresse aussi je l'aime. Un peu moins.
Maîtresse est la femme de Maître. Pas sa femelle, non. Femelle et femme ce n'est pas pareil.
On dit aussi épouse je crois. Ou mariée. Je l'ai su... avant. Avant que je ne devienne un animal du Maître.
Elle me fait peur Maîtresse. Maître non. Si je suis sage et obéissante ça va.
Maîtresse non.
Elle me regarde parfois, je baisse les yeux, j'ai peur. Maître non. Si je suis sage et obéissante ça va.
Elle punit. Comme ça. Je suis sage et obéissante mais elle punit quand même.
Maître me parle. Il flatte mes mamelles avec sa cravache.
Je crois qu'Il aime bien mes mamelles.
Elles sont grosses mes mamelles. Plus que les autres.
Maître m'explique, pas ce soir non, un autre soir avant ou après, ce soir je suce Maître, ce soir il n'explique rien, ce soir il me donne sa bite à sucer, que la nourriture qu'il me donne à sucer fait gonfler les mamelles des animaux, qu'elle donne envie de sucer les animaux mâles, qu'elle donne envie de se faire monter par les animaux mâles, qu'elle donne envie d'être sage et obéissante... Que la nourriture que  Maître donne est... bonne pour les animaux. Maître est bon. La preuve ? La nourriture est liquide car les animaux n'ont pas de dents. Pas de langue non plus. Les animaux meurent sans nourriture. Alors la nourriture des animaux est liquide. J'oublie. Ce n'est pas ce soir. Maître dit ça mais pas ce soir. Ce soir je ferme les yeux. C'est bon. Je suce.

Maître parle.
Je l'écoute.
Je suce et j'écoute Maître.
Sa Voix.
... Julie ...
Maître a dit Julie.
Je continue à sucer. J'oublie ce que Maître dit. Avant.
Julie. Il dit Julie... C'est jolie. C'est moi. Maître m'aime un peu ? 
"... Bonne fille. Tu es une bonne fille. Demain, si tu travailles bien, je te ferais saillir....."
Saillir ? Demain ? Demain ?. Non pas maintenant. Pas tout de suite. Après. Mais saillir oui.
Ma vulve brûle, dégouline. Saillir... oui.
Demain ? Ce n'est pas maintenant. C'est... après.
Maître remplit ma bouche de sa semence.
J'avale ce que je peux avaler.
Avec mes lèvres, sans dents, sans langue, j'essaye de sucer ce qui coule sur mon menton.
Maître.........
Ma cervelle d'animal est perdue. Je ne sais plus.
Saillir.
C'est avant.
C'est après.
C'est avant.
C'est après.
Maître.
Je l'aime.
"Va boire, Julie"
Oui. J'obéis, je suis sage et obéissante. 
"eehi aiche"

Je suce le liquide qui coule du penis de caoutchouc.

J'aime le pénis de Maître. J'aime le pénis de caoutchouc. J'aime la nourriture. Mais j'aime la semence de Maître.
Maître me penche en avant, attache mes poignets à mes chevilles. 
Maître. Oh !
Maître touche ma vulve, enfonce un vibrateur dans mon cul.
La paille pique mon visage.

Maître met en route le vibrateur.
Oh Maître.....
Maître se penche, soulève ma tête, glisse quelque chose entre mes lèvres.
"Pour te récompenser, parce que tu as été sage et obéissante aujourd'hui."
Une fleur ! Maître me donne une fleur !
Maître...
Je l'aime.
J'aime son odeur, son goût.
J'aime son cadeau, cette fleur que je serre entre mes lèvres.Elle est amère. Mais je l'aime.

Maître...
Je l'aime.
J'aime son odeur, son goût.
Maître...
Je l'aime.
J'aime son odeur, son goût...
Maître referme la porte de l'étable, pas à clef, cela ne sert à rien avec les animaux, leurs pattes de devant ne peuvent pas tourner une clef. Maître sait le faire, il a des mains, pas les animaux, ils ont des pattes.

................................... 


Je ne l'entends plus. Maître est parti. Le vibrateur vibre. Oh...
Ma chatte est brûlante... Je suis remplie par le vibrateur de Maître... Oh...
Mon trou du cul palpite.
Je m'écroule sur le coté, épuisée de l'orgasme qui me cabre.

Cauchemar. Des éclairs de souvenirs effacés. 
Des images, des voix dans ma tête.
O Maître ! Protège moi de ces mauvaises choses...

 

introduction

Je me réveille.
Maître ? 
Oui il est là avec un des animaux. Il s'appelle 72. Aussi Sébastien. "éhachien" Celui-la peut se servir de ses pattes. 
Elles sont comme des mains. Pas comme celles des animaux qui ne peuvent bouger. 
Alors il a des chaînes de fer et un gros collier de fer. 
Mais il est bête Sébastien. Plus bête qu'un animal. Mais il a des mains.
Il sert Maître. Et Maîtresse aussi.
Il me harnache.
Maître sourit et me regarde.
Je souffle un grand coup pour le corset. C'est plus simple pour le mettre. Je respire par la poitrine. 
Plus par le ventre. Plus possible avec le corset.
Je mouille.
C'est Sébastien avec sa queue qui me fait mouiller. Elle est toute longue et elle pend avec la chaîne accrochée.
Je bave aussi. C'est le mors que j'ai dans la bouche.
Sébastien me touche.
Saillir ? Demain ?. Non pas demain. Maintenant ? Non.  Pas tout de suite. Après. Mais saillir oui.Oui saillir. Sebastien me couvre. 
C'est bien. Pas tout de suite. Après. Pas maintenant. Maître dit... Quoi ? Je pense à une grosse queue d'animal qui me défonce...
Sébastien est bête. Plus bête qu'un animal. Sébastien touche mes cuisses pour mettre les bottes. Je pense à sa queue.
J'aime bien les bottes que Maître me donne. Elle sont ferrées. Avec un sabot de fer très haut. Et m'oblige à marcher sur la pointe des pattes. Je suis plus grande que Maître avec. Mais je baisse la tête.
Ca y est je suis bien harnachée. 
Le corset, les collants fendus à résille, les bottes, la perruque blonde et le harnais et le plug dans le derrière. 
Pour pas faire caca.
Mes poignets sont bien attachés dans mon dos. Très haut. Accrochés à mon collier. Je ne baisse pas la tête. 
Je ne peux pas avec le collier.
Maître prend les rênes. 
"Avance toi"
Il tire dessus pour me faire avancer. J'avance. Je baisse la tête, je crie un peu parce que ça tire sur les mamelles.
J'avance,  Maître me conduit, je suis sage et obéissante.
J'écoute mes sabots sur le pavé de l'étable. Clac, clac. La clochette devant mes yeux aussi. Ding ding. Ding Ding. Clac clac.
Mes mamelles bougent en marchant.

 
 
 

Aaaaah !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
C'est ma jolie perruque blonde. 
Des images, des voix dans ma tête. 
Des choses comme des souvenirs...

 

introduction

Je gémis, je trébuche. 
Aiiiiiie. Maître voit que je ne suis pas sage et obéissante. Il me cravache.
Je veux expliquer à Maître que j'ai des mauvaises choses dans la tête mais j'ai les mains enchaînées, je ne peux expliquer à Maître, montrer ma tête, faire des gestes, faire des bruits avec ma bouche...
Aiiiiiie. Maître me cravache encore...
J'avance, Maître me conduit, je suis sage et obéissante.
Oh ! Maître va me faire tirer le sulky avec grosse bite.
Il n'est pas très fâché alors ?
Je mouille. Ca coule le long de mes cuisses.

J'enjambe le timon. Sébastien le remonte entre mes cuisses. J'écarte les cuisses. 
Sébastien voit que je mouille. Il l'enfonce d'un coup. 
Il glousse comme un animal.
Moi aussi.... Hihihi


Il attache l'anneau qui perce mon con avec un mousqueton au sulky.


Il attache aussi le corset au sulky.
Maître est bon. Je tire bien le sulky avec la bite dans le con mais cela peut faire mal alors le sulky est aussi attaché au corset.
Comme ça je tire bien et je ne me fais pas mal.
Maître est bon avec ses animaux.
"Dépêche toi animal"


GGGGG...
Maître tire sur les rênes. Ca tire mes mammelles. Je baisse la tête pour que ça ne fasse pas mal.
J'avance.

Maître fouette mes fesses. Je vais plus vite. La bite du sulky est dans mon con. Elle me dilate. J'avance.

Le fouet claque près de mes oreilles. J'avance. Je trotte. Je galope.
Je suis sage et obéissante. C'est bien.
Maître est content. Je l'entends qui me crie des encouragements.

Il fait bon. Il fait frais. La clochette qui s'agite devant mes yeux fait un joli bruit. 
Mes sabots sonnent sur le gravier du chemin qui longe le canal.
Ding ding. Ding Ding. Clac clac. Mes mamelles bougent en galopant.
Je suis bien prise par la bite qui est en moi.
Ca fait un peu mal quand il y a une ornière mais je suis sage et obéissante.
Maître est content : "bien ma belle, bien"
Soudain...
 

Comme un coup de tonnerre.
Des images, des voix dans ma tête.
O Maître ! Protège moi de ces mauvaises choses...

 


Je trébuche, je fais un écart.
Maître me remets dans la bonne direction.
J'ai mal aux mamelles
Il me fouette durement.
J'ai mal. 
Je crie.

Maître est fâché. Je ne suis pas sage et obéissante.
Il me punit avec le fouet. Il crie des mauvais mots.

Je galope vite. Le fouet  brûle la peau. Le mors déchire ma bouche. 
Je bave, je sue.
Je sens la mauvaise femelle.

Maîtresse attend dans la cour avec un autre animal.

Je pleure. Je ne suis pas sage et obéissante. Je suis punie.
Maître et Maîtresse parlent ensemble.
J'entends des mots que je comprends pas:
"augmenter les doses d'euphorisant, diminuer les doses d'oestrogènes..."
Si ! J'entends !
"il faut la faire saillir..."

Saillir ? Oui.
Je tremble sur mes jambes.  J'ai envie. Saillir... oui.

 

introduction

Maîtresse me conduit en bas.

En bas il y a les étalons.

Ils sont enfermés dans des chambres bien fermées. Avec des barreaux très durs.

Parce que les étalons sont très forts.

Et puis ils ont une grosse bite. Très grosse.

Elle fait mal un peu quand elle rentre. Mais après c'est bon.

Saillir ? Oui.   J'ai envie. Saillir... oui.

Maîtresse me fait boire.

Je bois. Je suis sage et obéissante.

Maîtresse détache mes pattes...

... me pousse dans la chambre de Marcel.

Il se lève. Ses chaînes font du bruit. Il ouvre ses grands bras. Il grogne.

J'ai peur. Mais j'ai envie. Saillir... oui.

Maîtresse m'aide avec l'aiguillon électrique.

Marcel m'attrappe. Oui ! Saillir... oui.

J’ai peur un peu. Marcel est immense. Il a une queue énorme.
Saillir… Oui Saillir.
Marcel me serre dans ses pattes. Il me pousse sur la paille.

Aaaaaaaaaaah. Il s’enfonce dans mon con.
C’est horrible… C’est… Bon.
Saillir… Oui Saillir.
Encore.
Il m’écrase. Mais… Oui. Saillir. Ouuuiiii.

Encore !

..............................

Marcel est gentil. Il me donne à manger.
Ce n’est pas le manger pour les femelles.
Mais il pousse ma tête.
Je ne suis pas sage et obéissante. Je mange la nourriture de mâle.

Marcel dort. Marcel ronfle.
Je ne dors pas. Je suis bien prise.
Je…
Je suis bizarre dans ma tête.
Je ne suis pas sage et obéissante. Je pense à des choses pas bien.
Je pense que je ne suis pas un animal.
Je pense ...


Je pense que la nourriture fait des choses dans ma tête.
Je pense que la nourriture de mâle fait le contraire de la nourriture de femelle.
Je pense que je ne suis pas un animal. Pas une femelle. Pas un mâle. Pas un animal.

Je pense... Avant.

Oui. Avant ce n'est pas maintenant.

Avant je suis montée par Marcel.

Avant avant je tire le sulky.

Mais avant avant avant ...

Et avant avant avant avant... ?

Et avant avant avant avant...

Avant ?

 

 

introduction

C’est le matin. Je tire bien le sulky. Je suis bien couverte. Ma vulve est bien chaude.
Je suis sage et obéissante. Je tire bien le sulky.
Mais …

Il y a des choses qui flottent dans mes esprit.

Des souvenirs.


Je trébuche sur un caillou. Le sulky tombe dans une ornière. Maîtresse tombe aussi. Par terre.


Je ne suis pas sage et obéissante. Maîtresse est en colère. Elle me fouette.
J’ai mal. Je lui donne un coup avec mes bottes. Je lui fais mal. Elle reste par terre. Elle est évanouie.
Je ne suis pas sage et obéissante. Maîtresse est par terre.
Je me souviens. Je ne suis pas un animal.

Je me souviens, Maîtresse me tond.

Je me souviens. Maîtresse me marque au fer rouge.

Je me souviens. Maîtresse me perce avec des anneaux.

Je me souviens. Maîtresse coupe ma langue pour que je ne parle pas.

Je ne souviens pas mais Maîtresse arrache mes dents quand je suis endormie.

Je ne me souviens pas . Maîtresse coupe quelque chose dans mes mains pour qu’elles deviennent des pattes.

Ma cervelle d’animal se déchire….
Mon esprit renaît.

Je me souviens de la cage.

Je me souviens de mes mains enveloppées de moufles.

Je me souviens de ce liquide que je suçais sur un penis de caoutchouc, ma seule nourriture et ma seule boisson .

Ce liquide qui enflait mes seins et mon sexe.

Ce liquide qui brûlait peu à peu mon humanité.

Ce liquide qui peu à peu me transformait en femelle animale.

Je me souviens de ce vide qui peu à peu emplissait mon esprit.

Je me souviens quand je fus prête.

Je me souviens de l'entrainement, des saillies.

Maître...
 Je l'aimais.
         J'aimais Son odeur, Son goût.
         Maître remplissait ma bouche de Sa semence.
         J'avalais ce que je pouvais avaler.
         Avec mes lèvres j'essayais de sucer ce qui coulait sur mon menton.
         Maître.
         Je Lui appartenais. La femelle 117. Que Maître appellait parfois Julie.
         Quand j'étais sage et obéissante...

?????

Noooooon ...

Je hais mon Maître...

Je dois m'enfuir.

introduction

... A suivre ...

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