F.B.I

Female Bondage Investigators

(Avec la merveilleuse collaboration de mon amie Hélène )

 

menu

precedent
Chapitre 1: sévèrement ligotée
suivant


La journée avait été longue et enfin, elle était de retour dans sa suite luxueuse du Georges V, Paris.

Jennifer Miller, 29 ans, qui avait été catapultée au podium des stars par son premier rôle dans une des plus fameuses séries TV, avait parcouru un long chemin depuis sa naissance à Houston, Texas. Mais maintenant elle n'était qu'une actrice épuisée, qui avait passé la journée à jouer son personnage favori, un agent secret, femme adepte du kickboxing. Et là, elle ne rêvait que d'un bain chaud !

La production avait loué pour elle, un étage entier de l'hôtel mais c'était la première fois qu'elle pouvait réellement en profiter. Deux semaines de prises de vues et même pas un instant pour faire les boutiques. Gracieusement, on lui avait accordé cette soirée. Libre ! Ce soir elle ne voulait parler à personne, elle ne voulait voir personne. Elle ne voulait que se délasser.

 

Les hôtels français avaient bien sur un service de classe, pensa-t-elle en découvrant son bain prêt, une bouteille de Champagne dans un seau à glace et un superbe bouquet de roses rouges.

Rapidement elle se déshabilla et resta longuement devant le miroir, contemplant son corps nu.

"Tu es splendide, ma chérie, splendide" pensait-elle en prenant des poses, songeant au chemin parcouru depuis la paysanne jusqu'à l'actrice érotique qu'elle était toujours. Puis elle se laissa glisser dans le bain tiède, dégustant doucement le Champagne, les écouteurs de son IPod sur ses oreilles, les yeux fermés. Repos...

 

Cette absence de vision et d'ouïe fit qu'elle ne vit ni entendit les deux silhouettes masquées qui entrèrent par le balcon. L'une d'elle glissa vers la porte de la suite, la verrouillant, et utilisant le tableau électrique, coupa les lumières de la chambre ne laissant que celles de la salle de bain.
L'autre silhouette déposa une large valise derrière le lit et posa sur le lit un ordinateur portable dernier cri, le mit en marche. Le portable se connecta aussitôt à un réseau satellitaire. La lumière bleuâtre de l'écran de démarrage laissa rapidement la place à l'image d'un homme masqué. Qui leva le pouce: OK, Davaï...

Les deux intrus se cachèrent ensuite, l'un derrière la porte de la salle de bain, l'autre près de la porte d'entrée. Chacun des mouvements puissants mais fluides des hommes masqués montraient leur vigueur et une longue habitude des opérations discrètes.

Bientôt la porte de la salle de bain s'ouvrit et Jennifer Miller à peine vêtue d'un déshabillé de dentelle apparut. Elle s'immobilisa au seuil de la chambre, manoeuvra l'interrupteur plusieurs fois de suite. Sans succès.

"Damn" pensa-t-elle "les français ont vraiment besoin de leçons de technologie." Elle avança pour appeler la réception mais aperçut l'ordinateur sur le lit et l'homme sur l'écran.

"What the hell...", se dit-elle, "encore une connerie de la production"

Elle n'eut aucune chance de comprendre quoique ce soit. Elle sentit quelqu'un lui agripper les bras, la pousser en avant. Son déshabillé lui fut arraché comme elle tombait vers le lit, tandis que l'attaquant s'agenouillait sur elle, tirant ses bras vers l'arrière.

Le deuxième intrus en profita pour lier les coudes de Jennifer à l'aide d'un collier électrique. La morsure du lien fit gémir Jennifer mais cela n'arrêta en rien les assaillants et un deuxième collier vint rejoindre le premier.

"Q... Qu'est ce que vous faitmmmppphhhgggg !?!" furent ces derniers mots alors qu'un énorme bâillon boule forçait ses lèvres. Rapidement verrouillé derrière sa tête. En quelques secondes, Jennifer Miller, fut réduite à l'état de simple proie, nue, ligotée, à la merci de ses assaillants.

L'un des hommes agrippa ses cheveux, tira sa tête vers l'arrière, l'obligeant à regarder l'écran. Une voix basse, avec un léger accent russe sortit des haut-parleurs du portable.

"Ma chère, c'est de loin votre meilleur rrôle (le r est très roulé comme tout les r par la suite). Et ce n'est qu'un commencement"

"Khwi... kwhi ngêtes ngvous ?" fut tout ce que parvint à articuler Jennifer.

"Je suis le Collector. Vous allez rapidement apprendre à me connaître. Maintenant, messieurs, il est temps de l'emballer. Comme prévu. Je reste là, à jouir du spectacle"

 

 

Jennifer sentit quelque chose se poser sur sa tête. Quelque chose de très serré.  
Une épaisse cagoule de latex qui bientôt, enveloppa totalement son visage, ne lui permettant de respirer que par deux minuscules orifices placés à hauteur de ses narines.
Un collier de posture en cuir vint s'ajouter à la contrainte.  
Tandis que des colliers électriques ligotaient ses poignets, ses genoux et ses chevilles.

Puis les deux hommes replièrent Jennifer en boule, utilisant des sangles pour la maintenir ainsi. Bientôt seuls ses doigts et ses orteils purent encore bouger.

Un des assaillants saisit enfin la valise et l'ouvrit. Elle était capitonnée d'un matériau insonorisant. Jennifer fut placé dedans, quelques sangles supplémentaires l'immobilisant totalement.

"Bien, messieurs crachèrent les haut-parleurs comme les deux hommes refermaient le couvercle de la valise. "Miss Miller est prête pour un long voyage"

"L'est premier voyage pour animal", s'esclaffa l'un des hommes éteignant l'ordinateur et le remettant dans sa mallette.

Les deux hommes ôtèrent ensuite leur masque et s'habillèrent en costume de ville.

Qui pourrait prêter attention à deux voyageurs quittant un hôtel? Peu après deux hommes quittaient le Georges V, tirant une grosse valise qui étouffait parfaitement les sanglots muets de son contenu vivant, de la femme-animal enfermée dedans


à suivre...

precedent
suivant