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~ La Chasse~


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Quelques mots avant de débuter cette histoire. Pour ceux qui découvriraient Agnes-3D-Art. 

Le Prince et son esclave-gouvernante, Agnès,  sont des personnages récurrents dans mon oeuvre (si je puis m'exprimer ainsi). Le Prince apparaît déjà dans une courte histoire sans parole dans mon site libre, Le Prince Barbare. Il revient ensuite dans Le Prince barbare à Venise (publié chez BDSMArwork), Puis dans "Europe 2117" (publié également chez BDSMArwork). Agnès, sa gouvernante des esclaves y apparaît. C'est une Europe de demain. Avec ses lois sur la servitude. Vous retrouvez ensuite le Prince et Agnès dans "Jade, esclave du temps" puis dans "Colonia Dignidad". Le Prince est pour moi le Maître idéal, l'homme idéal. Sévère et dur. Mais magnanime. Quant à Agnès... c'est Agnès. La fausse soumise, la fausse esclave. trop dominante pour être une soumise béni oui-oui.

Dans le grand jeu du SM, l'esclave parfois domine le Maître.

Si le Maître est vraiment un bon Maître, il le sait. Et prend beaucoup de plaisir à ce théâtre du faux-semblant.

Ce que j'espère avoir rendu correctement dans cette histoire bien que le Prince n'y soit qu'un acteur de second rôle.

Que mon Maître me pardonne si je le confine à ce rôle de peu d'importance et que je prends la parole pour conter cette histoire.


Le retour du Prince


Après une longue absence, le Prince Dominque de Lizaigne est enfin de retour. Je suis toute guillerette et toute fière des aménagements effectués dans la salle de réception des esclaves. Je sais que cela ne va pas plaire au Prince, mon Maître, qu'il va crier haut et fort sa désapprobation, qu'il va probablement me punir, moi, Agnès, gouvernante du domaine et des esclaves, esclave moi même. Mais qu'il acceptera presque tout. A part quelques détails criants. Les tentures en vichy rose par exemple, que j'ai fait poser par l'équipe d'esclaves d'entretien. Le chauffage était nécessaire dans cette grande salle glaciale.  Je n'en pouvais plus de me congeler quand j'assurais la réception des nouveaux esclaves. Autrefois peut-être, fallait il troubler l'esprit des esclaves, les impressionner. Maintenant ils sont presque toujours volontaires. Cette salle n'est plus qu'un simple bureau de recrutement...

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Evidemment cela ne manque pas. Tandis que je me retiens de rire, le Prince pousse un coassement. Je connais bien mon  Maître. Il y a déjà bien longtemps que je me suis asservie à lui. Je le connais autant d'ailleurs qu'il me connait. Pour l'instant le Prince joue la comédie du Maître très en colère. Quand il crie ainsi, c'est qu'il s'amuse. Alors je joue la comédie de l'esclave très servile.

Un peu boudeuse tout de même.

Puis l'ordre tombe:

- Debout contre ce nouveau bureau ! Que je vais étrenner tout de suite en punissant une esclave qui omet de demander la permission à son Maître pour transformer cette salle en  boudoir de jeune fille.

- Oui Maître... Oh non Maître pas ma robe ! Elle est toute neuve...

- Et punir une esclave coquette ! C'est pour moi que tu es fardée comme une esclave de plaisir ? Et ces lorgnons ?

- Je... je ne supporte plus les lentilles de contact, O Maître. Depuis que j'ai attrappée froid dans cette salle glaciale !

Le Prince écoute à peine mes réponses et ma robe tranchée, découpée par l'épée vole au loin.

- Retourne toi ! Penche-toi !

 

Rapidement le Prince ligote mes poignets avec son écharpe de soie pourpre, s'éloigne un instant, revient une cravache à la main et agitant ...

- Oh non Maître, pas une pince !

- Si !

 

Je sers les dents pour ne pas crier quand mon Maître referme les machoires d'acier sur une de mes lèvres intime, tout en murmurant: " Mon Maître est le plus vicieux des maîtres, Sale bête, mon Maître vous êtes une sale bête. Vous savez bien ce que me font les pinces" Car oui, j'aime les pinces qui mordent la chair tendre se mes mamelons ou de mon sexe. Même si cela est excessivement douloureux. Dans mon dos j'entends le sifflement de la cravache qui s'abat dans un claquement sec sur mes fesses nues. Je sursaute puis gémis "Un"  Puis, au deuxième coup,  "Deux... trois...quatre... pas si fort je vous en priiiie, Maître... Aiiiiiie ! Cinq... non pas la raie des fesses ! Aiiiiiiiie !... Six... Merciiiiii... Sept... Maître... Huit...
Après le dixième coup de cravache, j'ai les fesses en feu et le souffle court. J'halète, la bouche grande ouverte. Quand le Prince se penche sur moi, qu'il place la cravache entre mes dents, je sais parfaitement ce que mon Maître va faire maintenant. Il va me prendre, là sur le bureau, comme un soudard prend une fille de joie.  Et il le fait. Mais pas où je l'attendais. Et je fais "Aaaaaaaaaaaah" quand le Prince force mes reins.

"Sale bête, sale bête... ", ces mots tournent en boucle dans mon esprit, rythmés par la clochette suspendue à la pince.

" Je ne suis qu'une esclave en chaleur. Et mon Maître est un animal qui va réussir à me faire jouir"

Ce qui se passe ensuite est trop intime pour que cela soit raconté ici. 

 

Un peu plus tard, toujours attachée, la cravache toujours dans la bouche et la pince toujours accrochée à mon ventre, je me tiens debout devant le bureau du Prince. Les jambes flageolantes, la morsure de la pince pulsant à mon ventre, les reins et les fesses douloureux, j' écoute les ordres de mon Maître.

- Tu montes devant la porte de ta chambre et tu attends là. J'enverrai un garde te détacher. 

"Et ne perd rien en route" ajoute-t-il en souriant.

 

Ding, ding fait la clochette moqueuse  tandis que je peine à monter les marches. Mes bas se sont dégrafés sous le assauts de mon Maître et je n'ai qu'une peur, c'est qu'ils ne glissent et que je ne me prenne les pieds dedans .

Le temps passe et je ne vois pas venir ce f... garde. Je suis là debout dans ce couloir, devant la porte de ma chambre et j'attends. Mes cuisses, écartées ainsi que doit les tenir une bonne esclave, tremblent. La cravache, dans ma bouche, me fait saliver. Et la pince... Elle est toujours là, aggripée à mon ventre, mordant sans pitié. Je gémis tout doucement....


... et sursaute quand Il pose sa dague glacée sur ma poitrine nue.

Le Prince, mon Maître est venu en personne me libérer. J'ai toujours été effarouchée par les lames que manie mon Maître lorsqu'il impose son autorité à une esclave. Il jouit de cette peur. Je le sais. Mais je n'en tremble pas moins à chaque fois qu'il s'approche de moi une épée, une dague à la main. Je frissonne maintenant, alors que la lame froide, s'attarde sur ma gorge, se pose sur mes seins, que le Prince joue avec mes mamelons dressés.


- Voyons ça...

Je veux protester, un Maître ne s'agenouille pas devant une esclave... Je crie quand il ôte la pince.


Et voudrais bien pouvoir dire "Non Maître, ce n'est pas bien, vous profitez de mon impuissance" Mais la cravache déforme mes paroles et le Prince qui ne veut rien entendre, continue de soigner "ce petit minou qui a très mal"


Avec sa bouche et sa langue.

Puis mon Maître soulève son esclave... Du pied, il ouvre la porte et me porte jusqu'au grand lit et...

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Plus tard, alors que le Prince s'est assoupi, après avoir longuement utilisé sa Gouvernante, son esclave, je caresse doucement son visage...

Mon Maître, vous êtes une sale bête... mais vous m'avez donné beaucoup de plaisir...


 

à suivre...

 
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