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~ Le Miroir d'Alice ~

Le Chapelier

Alice aperçoit des lueurs là-bas au lointain.

Des lueurs qui se rapprochent.

L'étrange véhicule s'arrête dans ce qui semble être une clairière et ses non moins étranges passagers en descendent.

Des soldats de bois !

Qui lancent un filet !

Alice veut se reculer, refermer le miroir maléfique...

Trop tard ! Le filet jaillit du miroir, enveloppe Alice, l'emprisonne.

Et Alice se retrouve de nouveau dans le monde du miroir, dans le cauchemar du miroir.

Elle est maintenant suspendue comme un jambon à l'un des arceaux du véhicule. Un des soldats s'approche d'elle et jacasse en lui montrant ce qui sort de sous sa redingote : une bite en bois de belle dimension.

Alice se dit que cela recommence, qu'il va se passer la même chose que dans les précédents cauchemars.

Le véhicule tangue sur le chemin en pétaradant, et les cordes cisaillent le dos, les épaules, les fesses d'Alice.

Elle réalise que les arbres semblent gigantesques à moins que ce soit elle qui ait rétréci

Mais Alice ne peut y réfléchir plus longtemps. Les soldats de bois ont stoppé le véhicule, descendu le filet pour en extraire Alice, l'attacher férocement à une plante et baisser sa petite culotte de dentelle.

Les poignets ligotés au-dessus de la tête, le cou garrotté, les cuisses écartelées, Alice ne peut que hurler de douleur lorsque, l'un des soldats de bois enfonce sa bite dure dans son intimité.

Après l'avoir violée plusieurs fois de suite, les deux soldats de bois abandonnent Alice, toujours ligotée, le souffle rauque, le vagin ravagé par les pieux de bois, pour jacasser entre eux et fumer une pipe.

( cliquez sur Alice pour un gros plan )

Puis après avoir emprisonné Alice de nouveau dans le filet, ils reprennent la route.


Ce n'est que bien après le lever du soleil, que le véhicule arrive à ce qui semble être sa destination. Alice est harassée. Elle a envie de vomir et la tête lui tourne. L'espèce de chariot à vapeur l'a secouée et ballottée tout au long de la nuit. Sauf aux arrêts réguliers qu'ont fait les deux petits monstres de bois, juste pour la violer encore et encore.

Alice est terrorisée quand le géant soulève le filet et le dépose sur la table, sur un échiquier.

Tandis que le géant la déshabille, délicatement, elle pense que, au moins celui-là ne la violera pas: il est trop grand.

"Ce sera un pion. Un pion tout à fait charmant. Une fois préparé, ce sera un pion blanc"

Alice ne comprend rien à ce que ce géant dit et essaye de lutter contre le soldat de bois qui l'agenouille et lui maintient les bras en arrière.

En vain. Et c'est avec effroi qu'elle voit approcher les énormes "petits" ciseaux.

Alice est encore une fois tondue et mal: le géant a plutôt massacré ses beaux cheveux. Puis le géant scotche Alice sur l'échiquier et la bâillonne en forçant une balle de tennis dans sa bouche.

Alice est écartelée, complètement impuissante.

Elle grogne de douleur dans le bâillon, s'étouffe avec sa salive, quand le géant sans pitié saisit les lèvres de son sexe avec une pince.

Elle se cabre dans ses liens quand il transperce ses lèvres d'une aiguille à couture.

A la limite de l'évanouissement, elle hurle pourtant quand le fer rouge creuse la chair de son pubis, que la souffrance horrible ravage son esprit.

Puis elle perd connaissance.

C'est l'affreuse sensation que quelque chose lui arrache le sexe, qui réveille Alice.

"Désinfection. Mes pièces doivent toujours être propres" dit le géant en soulevant Alice. La balle de tennis est toujours là, bloquée entre ses mâchoires. Alice est menottée dans le dos et les lèvres de son ventre sont distendues par l'anneau qui les perce, la chaîne qui y est fixée et par le poids de fonte qui y est accroché.

Ce poids qui entraîne Alice au fond du bocal où la plonge le géant.

Avant de refermer le couvercle.

Alice est ancrée et sa tête dépasse à peine de la surface du liquide à l'odeur de médicament. Elle pédale, trotte dans le liquide pour ne pas s'enfoncer.


Beaucoup plus tard, le géant sort Alice du bocal pour la ranger dans une grande boîte de bois.

Il cagoule son visage d'une capote anglaise et place une muselière de cuir, un collier d'acier et une balle de tennis pour assujetir l'ensemble. Alice est maintenant presque aveugle, presque sourde et totalement muette. Le latex de la capote trouble sa vision, assourdit les sons et obstrue sa bouche. Seuls deux petites valves percent la capote au niveau des narines et permettent la respiration.

Tandis qu'elle est descendue dans un casier de la boîte, le ventre distendu par le poids qui oscille sous elle, Alice a le temps de distinguer d'autres prisonniers à travers le latex qui déjà se couvre de buée. Chacun dans un casier. Tous cagoulés de rouge. C'est tout ce qu'elle peut voir car le couvercle se referme et Alice se retrouve emprisonnée, menottée, cagoulée, bâillonnée et enchaînée par le sexe au poids qui est posée près d'elle.

 


C'est la première partie à laquelle participe Alice. Il y en aura d'autres. Elle est pion blanc et vêtue de blanc: une robe de latex et dentelle, blanche et noire;  des bas résille et des bottines à semelles compensées et hauts talons. Alice est toujours cagoulée et bâillonnée. Des poucettes d'acier reliées à son collier immobilisent ses bras et la chaîne de son sexe est attachée à ses chevilles. Alice a du mal à avancer: la chaîne tire sur ses lèvres percées et elle ne peut marcher qu'en soulevant très haut la jambe.

D'un coup de fourche, un des soldat de bois la met en place: D2.

Ce sera sa place à chaque partie. Près de la Reine rouge. Près de la Reine blanche.

Les pièces sont de bois, rouges ou blanches. Sauf elle. Et, aujourd'hui le cavalier rouge. Un centaure ! En A5.

Alice tremble. De peur mais aussi parce que la contrainte des fers tord ses articulations douloureusement. Elle a chaud également et transpire abondamment dans sa tenue de latex. Sa respiration est comme un ronflement à travers les opercules qui, chichement, lui permettent de respirer.

"Les rouges au trait. Cavalier A5- B3. Echec à la Reine." annonce le géant.

Les Blancs n'ont d'autre choix. Ils sacrifient le pion.

"Cavalier B3-A5. Le pion blanc est pris"

Prise. Alice va vivre plusieurs parties et sera prise à chaque fois. Toujours de la même manière.

Les soldats de bois débarrassent l'échiquier et placent Alice sur un chevalet de contrainte.

Les pouces emprisonnés, ...

les cuisses écartées, son sexe enchaîné, Alice offre son ventre béant à la pièce vivante qui l'a prise et qui va la prendre.

Le cavalier-centaure s'approche. Il est muselé comme elle et ses pouces sont enchaînés au collier qu'il porte. Il pose ses sabots antérieurs laqués de rouge sur les marchepieds.

Alice frissonne quand le sexe du centaure touche son trou béant.

Puis elle hurle.

Le membre du centaure est énorme et déchire Alice alors qu'il force brusquement son vagin.

Les coups de boutoir du centaure arrachent des cris de douleur à Alice. Des cris de douleur qui se transforment peu en peu en cris de plaisir.

Quand enfin le centaure s'épanche en elle, quand il éjacule son sperme brûlant, Alice n'en peut plus et hurle sa jouissance perverse.

Et engloutit de sa bouche écartelée la queue du centaure lorsqu'il se présente face à elle,

qu'il inonde sa gorge de sa semence.

Alice entend vaguement les soldats de bois qui caquètent derrière elle, qui se moquent d'elle.

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Mais elle n'en a cure. Elle halète, elle gémit encore mais elle se sent... remplie. Par la bouche et le con.


Les autres parties se déroulent de la même manière: Alice est toujours en D2 mais les autres pièces changent de place, imperceptiblement. Presque de la triche, pense Alice.  Le résultat est toujours le même: Alice, le pion blanc est prise, attachée sur le chevalet et prise, violée par la pièce qui l'a gagnée au jeu.

Comme la Reine rouge bâillonnée, cagoulée de latex rouge, enchaînée et affublée pour l'occasion d'un gode- ceinture.

"Les Rouges au trait. La Reine rouge, E2-D2. La Reine prend le pion blanc"

Alice lèche copieusement le gode de caoutchouc rigide. Pour que cela rentre mieux.

Pourtant elle crie quand la Reine tombe sur elle, en elle, brutalement, lui défonce le ventre en gémissant.

Tandis que la Reine ressort, retombe, tandis que la Reine sanglote derrière elle, Alice pense que la chaîne qui entrave la Reine doit la faire souffrir autant que sa chaîne à elle qui distend ses lèvres intimes.


Il y a le fou ensuite.

C'est un homme, musculeux,  habillé en femme: guêpière de dentelle rouge, bas noirs, hauts talons et un string ridiculement petit. 

Son sexe énorme qui en dépasse, semble prêt à éclater.

Le fou, entravé par un boulet, trébuchant sur les talons aiguilles, aiguillonné par un soldat de bois se place devant Alice.

Il force la bouche béante d'Alice...

et rapidement éjacule dedans,

avant de prendre Alice, successivement par ses deux trous.


Entre les parties, Alice est enfermée dans la boîte. Quand, exténuée, la respiration rauque, elle tombe dans un mauvais sommeil, Alice rêve.

Alice rêve (mais est-ce un rêve ?) qu'elle est dans le cachot, vêtue de sa robe de latex, bâillonnée, cagoulée, les épaules distendues par ses pouces menottées, la respiration sifflante à travers les valves qui perce la capote de latex.

Les jambes fléchies, les mollets et l'arrière des cuisses parcourus d'élancements terribles, Alice est enchaînée par le ventre face à la muraille humide du cachot.

Il vient. Alice entend la grille s'ouvrir. Alice entend son souffle, ressent la chaleur du corps de son bourreau, Alice sent son odeur de mâle en rut.

"Bientôt",  rauque-t-il en troussant Alice. 

"Très bientôt", ahane-t-il en violant Alice par la porte de derrière, 

"Très très bientôt, tu seras offerte à Belial" susurre-t-il en malaxant les seins d'Alice.

Rapidement, il fait son affaire et abandonne Alice dans le cachot, dans l'obscurité moite.

Il la laisse sanglotante, trempée de sueur, dégoulinante de foutre, le corps arqué par les crampes qui lacèrent ses cuisses, son dos et ses épaules.


Les parties succèdent aux parties. 

Et puis vient la Tour. Alice sait tout de suite que la fin du cauchemar approche. Mais elle sait aussi qu'elle va hurler de souffrance avant de se réveiller dans sa chambre.

Alice tremble de peur en voyant la Tour. C'est un monstre de fer, un monstre qui semble difficile à maîtriser par les soldats de bois eux mêmes. Ses chevilles et ses poignets sont enchaînés. Il est aveuglé par un masque rouge qui semble vissé sur ses tempes. Sa bouche est maintenue fermée par un muselière d'acier mais cela ne l'empêche pas de gronder férocement quand l'un des soldats le pique avec sa fourche. Quand l'autre soldat  tracte le géant d'acier par la laisse qui emprisonne ses testicules hérissées de piques.

Et le sexe !  Métallique bien sur. 

Enorme, monstrueux, gigantesque, terrifiant...

Ces adjectifs et d'autres encore passent par la tête d'Alice qui a vu la chose. Des lames triangulaires sont réparties sur le membre de fer et d'autres autour du gland.

Alice pense que ça tranche en rentrant et que ça déchire, que ça étripe en ressortant. Et que ça a déjà servi. Des tâches brunâtres maculent les lames.

"Dépêche-toi. Qu'on en finisse" implore muettement Alice, attachée sur le chevalet.

Un chevalet de condamnée à mort.


à suivre...

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