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~ Le Miroir d'Alice ~

Rêve 4: le métro

Trop tard ! Alice est comme aspirée par le phare du métro et se retrouve debout au milieu d'un wagon, la culotte toujours baissée.

Elle la remonte rapidemment, se pelotonne sur une banquette. Il y a du monde là-bas. Qui se lève et s'approche d'elle.

Deux hommes et un chien. Un gros chien à l'air menaçant. Les deux hommes aussi d'ailleurs avec leurs cutters.

Ils la repoussent, s'assoient en l'encadrant. Une petite voix murmure à son oreille:

- Je suis sur que tu n'as pas de billet. Ce n'est pas bien. Tu aurais dû payer ton billet. Il va falloir payer l'amende.(LC)

" Enlève ton slip", dit une autre voix dure comme un roc.

Alice ne voit que les cutters qui luisent sinistrement sous l'éclairage blaffard. Elle obéit.

"Tu sortiras d'ici comme colis (LC)", dit la voix fluette, celle du gros homme qui pue le graillon.

"Et bien emballée. Avec une étiquette, Pas fragile (LC)" enchaîne la voix rauque à l'haleine fétide. Alice tremble tandis qu'un cutter tranche les bretelles de son si joli corset, en découpe les lacets.

- Debout, salope ! Penche-toi ! Ecarte les cuisses ! Ouvre la bouche !

Alice ne voit que les cutters qui, seuls, semblent donner les ordres. Elle se soumet, se laisse violer. Les deux hommes sont sales. Leur odeur d'homme est forte et Alice manque vomir quand le membre du gros homme force ses lèvres. Mais les cutters sont là.

Et toujours présents quand les deux hommes attachent ses poignets à ses chevilles, qu'ils enfoncent son slip dans sa bouche, qu'ils la bâillonnent avec un bas et la basculent vers l'avant. Alice est sur ses genoux, la tête posée sur le plancher dur du métro, le derrière en l'air, offerte. Du sperme coule de sa bouche et de son ventre.

- Prends la, Lucifer. C'est une chienne.

Alice sent le souffle chaud du chien qui renifle sa fente. Alice gémit quand le chien pose ses pattes griffues sur ses fesses puis sur son dos. Alice crie dans son bâillon quand le chien la pénêtre, que la bite du chien s'enfonce dans sa chatte gluante de foutre d'homme.

Le chien grogne, s'agite en elle. Ses pattes griffent son dos. Alice hurle quand le jet brûlant vient frapper le fond de son vagin.

"Tu gueules trop pour une chienne en chaleur" dit la voix rauque tandis que l'homme maigre la retourne sur le dos, qu'il recouvre la tête d'Alice d'un sac en plastique.

- Garde ton souffle pour respirer !

C'est horrible pour Alice dont la respiration affolée colle le plastique sur ses narines et sur sa bouche, le plastique qui les obstrue. Et qui, horrifiée, voit le chien se pencher sur elle. Il se glisse entre ses cuisses, les écarte davantage et la langue pendante, s'introduit brûtalement dans son vagin déjà saccagé. De nouveau le chien viole Alice. L'horreur, le dégoût ravage son esprit autant que le manque d'oxygène et bien avant que le chien n'ait déchargé en elle, Alice s'évanouit.

(LC) : d'après Lewis Carroll, De l'Autre Côté du Miroir

     
 
   
   
 
     

C'est l'énorme double godemiché vibrant qu'ils forcent dans son sexe et son anus qui lui fait reprendre connaissance.

Alice hurle dans le sac plastique qui l'étouffe toujours, essaye de se soustraire à la douleur, mais c'est sans espoir.

Elle est tassée dans une caisse, ligotée à genoux, bâillonnée, la tête tordue en arrière reposant sur les planches de bois brut. Et le gode la défonce sans pitié, dilatant à l'extrème son vagin et son anus.

Les deux hommes clouent le couvercle, approchent un diable, bascule la caisse.

Alice s'affaisse sous son propre poids, s'empale encore plus sur l'énorme vibrateur.

Elle crie sa souffrance, elle râle du manque d'air, le plastique plaquée sur sa bouche et son nez.

Un coup de pied ébranle la caisse et une voix rauque "Gaspille pas ton souffle chienne" parvient à percer la terreur d'Alice.

Malgré la terrible sensation d'étouffement, malgré la douleur de la position extrème dans laquelle elle est ligotée, Alice réussit à se maîtriser. Un peu. Elle s'aperçoit qu'en respirant tout doucement, de l'air parvient à irriguer ses poumons; qu'en expirant très fort elle peut décoller le sac de son visage.


Dehors ! Alice est dehors. Elle en ressent la fraîcheur sur sa peau nue et moite Mais pas pour longtemps. Ils basculent la caisse de nouveau, vers l'avant cette fois-ci, dans une vieille camionette qui sent l'huile et le gazole.

La camionnette roule vers Alice ne sait où. Elle suit un chemin de terre. Alice entend des graviers qui cognent contre la carrosserie et chaque cahot lui défonce encore plus l'anus avec le gros vibromasseur qu'ils ont forcé dedans.

Le véhicule s'arrête. Ils déchargent la caisse,

ils la basculent encore sur le diable. L'air froid de la nuit glace Alice: elle est trempée de mauvaise sueur.

Elle crie de douleur lorsqu'ils gerbent la caisse sur le sol gazonnée d'un espèce d'enclos grillagée mais respire à plein poumons lorsqu'enfin, après avoir déclouer le couvercle de la caisse, ils la sortent de là et arrachent le sac de plastique.

Ils passent un collier de chien autour du cou d'Alice, le cadenassent, ils y fixent une laisse et la tirent, toujours ligotée, vers un vieux container. Elle se cogne, se griffe sur la terre froide puis sur le métal rouillé. Elle grogne, elle tousse en partie étranglée par le collier.

- Plus tard les chiens, pas maintenant !

Maintenant Alice est à genou, la tête sur le métal, le derrière en l'air. L'énorme vibrateur a fait son effet et Alice sait que son vagin est béant, dilaté. Elle devine ce qui va se passer quand elle entend le bruit des pas...

... et ressent sur son front les vibrations des deux hommes.

Ils s'approchent d'elle

et la violent tour à tour,

chacun utilisant le trou qui lui convient.


Quand ils sont rassasiés, comme des bêtes repues, ils la retournent sur le dos et lui présentent leurs "cadeaux" pour la nuit.

- ça, c'est pour te garder bien chaude, dit l'un des hommes en lui montrant un énorme godemichet vibrant et un plug ...

et en les enfonçant à coup de chaussures dans le ventre d'Alice qui hurle de douleur

- ça c'est pour tes nichons. Que tu les oublie pas !, dit l'autre en lui montrant de grosses pinces crocodile.

Alice se tord dans ses chaînes lorsque les mâchoires des pinces se referment sur ses têtons, qu'ils ceinturent sa poitrine, incrustant profondément les pinces dans la chair.

Mais le pire est à venir. Car après l'avoir bâillonnée durement avec un gros gode qui étouffe ses cris, ils lui montrent la télécommande du plug.

Et l'expérimente.

La décharge électrique qui ravage alors son anus est terrible et Alice bondit, tressaute sous la douleur.

- Pour te rendre bien sage et obéissante. Une nuit avec ça dans le cul t'apprendra à obéir !

Alice gémit, pleure. Elle entend à peine les hommes refermer et cadenasser les portes du container la laissant seule, dans les ténèbres moites de sa prison.



à suivre...

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