fleche

 


 

~ Sainte Agnès ~

Hagiographie ou autobiographie ?


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Premières fois : les meubles vivants

- le lampadaire -


La voici. Pour notre première séance de jeux. J'accueille moi-même Hélène, qui se cache derrière de grandes lunettes noires.

- Bonjour... Je vois que tu as apporté ton petit matériel ?

- Oui Madame... Oui Agnès.

- Non pas Agnès. Madame c'est très bien. C'est ainsi que tu dois m'appeller pendant le jeu.

- Oui Madame. Bien Madame.

- Tu vas suivre Georgette qui vas t'habiller correctement.

J'ai fait habiller Hélène d'un bodysuit de lurex assorti aux tissus du salon et qui est ouvert là où cela est nécessaire. Un corset et des sandales complète sa tenue. Sa tenue de meuble vivant.

C'est ainsi que j'ai choisi les premiers scénarios. Je pense en effet que cela ira dans le sens des désirs d'Hélène: ne plus être qu'un simple objet que l'on manipule, que l'on utilise.

- Pour une première fois, nous allons faire simple. Tu es à mon service et tu vas me faire la lecture. Plus exactement tu vas éclairer ma lecture...

- Je ne comprends pas...

- Tu vas comprendre. Georgette vas t'aider...

Tandis que Georgette achève de serrer la partie basse qui emprisonne les jambes et les cuisses d'Hélène, je pousse un bâillon gode entre ses lèvres.

- Ouvre la bouche, Hélène. Voilà, c'est bien.

- Oumpf...

Elle est sur la pointe des pieds mais peu à peu s'enfonce sur le plug et sur le gode de caoutchouc soigneusement lubrifiés.

Une fois la partie supérieure en place, Hélène est totalement immobilisée, prise de partout, la taille délicieusement réduite et ses tétons étirés par les quadruples verins caoutchoutés. Un dernier petit réglage pour ses mamelons...

- Ce n'est pas trop serré ?

- Cha pinche...

- Donc c'est bien ! Ma jolie lampe... Ca te plait Georgette Hein ?

- Oui Maîtresse.

Oh oui, ça lui plait. La jupette de Georgette est toute déformée par une magnifique érection.

-Quand j'appuie sur le têton droit tu tires le cordon pour augmenter la lumière. L'inverse quand j'appuie sur le gauche. Compris ?

- Hompf, hompf

 


La séance de lecture a duré une bonne heure.

Et j'ai souvent allumé, réglé ou éteint la lumière.

Souvent femme varie... N'est-ce pas ?

Peu à peu la respiration d' Hélène s'est faite plus bruyante, plus rapide. Peu à peu elle a grimpé les marches du plaisir. Son parfum de femme est devenu de plus en plus présent. A chaque fois que je touche les "interrupteurs", du bout de l'ongle, elle gémit, ondule du bassin, visse son ventre sur les godes, dans la mesure où l'appareillage de métal qui l'immobilise, le lui permet.

Enfin ( enfin ou déjà mais je pense que cela suffit ) j'interromps le "supplice". Hélène est toute en sueur: le lurex, la chaleur de la lampe et aussi le plaisir. Quant à moi... Si je n'ai pas chaud "dehors", mon "dedans " est un brasier.

- Ca va ?

- Hon hon... Ch'est affreux. Je suis en feu, c'est horrible je suis vraiment une ...

- Chuuut ! Tu es en feu comme une petite chatte en chaleur.

- Ooooh... Madame !

 

- Et les chattes en chaleur, on les fait monter par un gros matou.

- Ooooh....

- Et on leur met un collier. C'est ton collier maintenant. Il t'appartient et t'enchaîne à moi.

- N'aie crainte, petite chatte jolie, Georgette est couverte...

Les poignets attachés par une fine cordelette, penchée et posée sur une tablette, les cuisses largement écartées et le derrière en l'air offert au regard (et à sa queue ! ) de Georgette, Hélène est toute tremblante d'attente. Je sais qu'elle a honte aussi mais que le plaisir de n'être plus qu'un objet de plaisir, une chose sexuelle, balaye toute vergogne.
Elle crie quand Georgette s'enfonce en elle. Pas de douleur. L'heure passée fichée sur les godes, a dilaté ses trous: on y enfilerait bien plus large que le membre de Georgette.

Georgette s'active sur Hélène en mouvements parfois amples et lents, parfois secs et rapides. C'est un bon amant.

Hélène ferme les yeux, se laisse aller au plaisir de ce viol imposé.

- Doucement. Doucement.

 

 

 

Peu à peu les gémissements d'Hélène vont crescendo et quand ils deviennent cris de jouissance, je n'en puis plus et l'embrasse à en perdre le souffle.


à suivre...


 

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