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Chapitre 4 : le dressage d'Agnès
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Le dressage commence...

Tandis qu'ils punissaient Hélène, mon dressage a commencé par le bain de drogue. Cette drogue infernale qui allait aliéner mon esprit.


Puis pendant des jours, des semaines, des mois peut-être, l'impitoyable mécanique du dressage est mise en place.

Les nuits (nuit ? ) dans le clapier;

la toilette du matin (matin ? ) ...

le fouet après la toilette,

la longue, très longue immobilisation, sur le dos ou sur le ventre. Et les viols.

Un jour, ils sortent Hélène du puit. Le premier ordre qu'elle reçoit, me concerne :

- Viole la. Bien à fond. Sinon tu retournes dans le puits.

     
 
   
   

Allez, défonce la !

 
     

La pauvre obéit bien sur. Je ne sais ce qu'ils lui ont mis comme gode ceinture. Je me souviens simplement que j'ai l'impression d'être éventrée.

- Brave esclave, brave fille. Brave robot.

Puis enfin c'est la piqure ! Epouvantable nécessité.

Mais que c'est bon, le soir avant de regagner le clapier.

Le lendemain, cela recommence. Et le surlendemain. Et ...

Depuis quelques temps, Hélène participe à mon dressage. Elle m'applique le fouet du soir.

- Plus fort que ça ! Je veux voir les marques. Et l'entendre hurler.

Comme la malheureuse Hélène s'applique à obéir, elle a droit à un traitement de faveur: elle ne couche plus en cage mais sur une paillasse

Bien sur, on use et abuse d'elle et je l'entends gémir quand on la prend sur le matelas crasseux.

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... à suivre...