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Chapitre 3 : Hélène et Agnès
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L'Indienne capturée

Ce que je fais le week-end suivant. Avec un scénario plus élaboré cette fois-ci.

J'ai envie d'une belle pendaison, j'ai envie de voir Hélène se tortiller au bout d'une corde.

Scène 1, costume vieux western du 20ème siècle: moi en cow-girl farouche...

et Hélène en belle indienne, qu'un beau cow-boy m'apporte.

La pauvrette serre les cuisses pour maintenir en place le gros vibrateur qui la remplit et...

Qu'elle est belle !

Délicieusement effarouchée avec le bâillon rustique qui cisaille sa bouche la fait pleurer.

J'avais demandé à ce qu'on installe une belle potence et une barrière de bois. Ce qui a été fait.

Scène 2: obéissant à mes ordres, le beau cow-boy attache solidement Hélène sur la barrière, les cuisses bien ouvertes, ...

- Approche, toi. Que je te mouille le gland.

- Hue... défonce la. Bien au fond. Et toi lèche.

... et tandis qu'il la viole brutalement, j'ordonne à la pauvre indienne de me lècher le minou.

Chaque coup de boutoir du cow-boy, propulse le visage d'Hélène vers mon ventre, sa langue titille mon clitoris...

Que c'est bon !

Je suis déjà toute chose quand je lui passe la corde au cou, ...

que je tranche ses vêtements, ...

que je la bouche soigneusement devant et derrière, ...

que je la ligote durement à la manière japonaise et que je glisse un sac plastique sur son pathétique visage d'androîde.

- Allez grimpe. N'aie pas peur, Georges te retient.

- Es tu prête ?

Hélène est prête.

A être pendue.


Aaaaaargh ...gggll

Je laisse ensuite la pauvre Hélène tournoyer au bout de la corde quelques minutes. Elle tousse, grogne et râle. Ses jambes s'agitent, gifflent l'air tandis que de ses mains ligotées, elle tente vainement de détacher ce noeud infernal qui l'étrangle, d'arracher le sac plastique qui l'étouffe.

De peur d'endommager le fragile mécanisme de son cou, je cesse le jeu. Il y a aussi que j'ai diablement envie d'engloutir un gros membre viril.

Tandis que je chevauche l'androïde mâle, je ne perd pas des yeux la femelle dont la bouche s'ouvre telle celle d'une carpe hors de l'eau. Le sac plastique se gonfle, se dégonfle, se plaque sur le visage de l'androîde.

Déjà (déjà ?) l'ivresse d'un orgasme me saisit qui me jette à terre.


Mais j'ai encore envie de douces caresses. Celle qu'une femme seulement, peut offrir. Aussi je délivre Hélène.

Elle aspire l'air à plein poumon, comme si sa vie en dépendait, comme une vraie femme le ferait. Elle est un vrai prodige de programmation.

- Tu es merveilleusement conçue !

- Allonge-toi. J'ai envie de toi.

Plus tard, alors que Hélène sommeille comme comblée, je contemple son beau visage d'androïde femelle.

- Sais-tu ma douce que je suis presque amoureuse de toi.

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... à suivre...