Esclave à vie


Vous vous souvenez de votre premier propriétaire qui voulait une esclave sexuel. Une esclave nordique, blonde.

Du premier marquage au fer rouge. Des anneaux de fer transperçant votre nez et votre langue.

Vous vous rappelez de votre dressage: des ventouses pour étirer vos tétons et votre clitoris.

Du poids suspendu à votre langue pour l'allonger.

Et des exercices avec la bouche et le ventre sur de monstrueux pénis de caoutchouc dur.


Vous vous souvenez de votre apprentissage de la danse. Danse orientale mais aussi danse érotique occidentale.

Vous tremblez encore en vous rappelant de votre première faute et du châtiment qui vous avait été infligé: 20 coups de fouet.


Et puis il y a eu la première fois où l'on vous a conduite devant votre propriétaire, en laisse, les chevilles entravées, vos bracelets cadenassés dans le dos. Comme d'ailleurs à chaque fois qu'une esclave était menée au Maître.

20 Vous portiez depuis quelques temps déjà, le collier et les bracelets d'esclave, légers mais terriblement robustes. Avec ce médaillon signe de votre servitude: esclave, écrit en caractères arabes. Votre seul et unique nom dorénavant: esclave !

21 Vous avez dansé pour votre propriétaire. Vêtue à l'occidentale, tailleur gris très chic, chapeautée, le visage gracieusement voilé mais des dessous de prostituée, vous vous êtes déshabillée lascivement devant lui en tournant autour de ce mât en inox. La clochette pinçant une de vos lèvres intimes accompagnait, comme un rire moqueur, vos poses obscènes.

Quand enfin, presque nue, les cuisses largement ouverte autour de la barre, le dos arcqué, vous avez terminé votre danse d'esclave, votre propriétaire s'est approché et vous a prise là, debout contre le mât, les poignets enchaînées aux crochets.


Vous aviez été bien dressée. Vous maîtrisiez parfaitement l'art du strip-tease, la danse du ventre ou cette danse du fouet où une esclave mime la flagellation d'une autre, détache peu à peu les fermoirs qui maintiennent en place les voiles qui couvrent à peine l'esclave fouettée, où cette dernière se déhanche pour échapper à la lanière brûlante. Il vaut mieux d'ailleurs que celle qui tient le fouet n'ait pas quelques griefs contre l'autre.

( cliquez sur le visage pour un gros plan )

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Vous donniez du plaisir à votre propriétaire, vous le serviez en essayant de sourire.

Même quand il vous embrassait, que sa langue forçait vos lèvres, que son haleine fétide vous révulsait.


Mais une esclave sexuel s'use vite.

Il vous a revendue.


... à suivre ...